Mettre en place des relations pérennes et efficientes entre science et politique pourrait aider à la gestion de crise.
La Covid-19 a mis en évidence une forte inadéquation des rapports entre science et politique. Certes, la voix des scientifiques est mieux entendue, notre gouvernement, nos concitoyens ont manifesté de l’écoute, même du respect pour leurs avis. Mais le « discours polyphonique » des chercheurs a aussi engendré des incompréhensions dues à la méconnaissance des processus qui président à la science.
- Lire l'intégralité de cet article d'Alain Beretz, directeur de l'Institut de génétique et de biologie moléculaire et cellulaire (IGBMC), sur theconversation.com